- HABITER SAINT-ÉTIENNE EN 2050 - Des logements à Chateaucreux
Production: Master 2, École nationale d'architecture de Saint-Étienne (2013)
Localisation: Saint-Étienne (42), secteur Chateaucreux/Crêt de Roc
Délai: 3 semaines
Réalisation: Dessins (Main / Sketchup / Photoshop)
Programme: 30 Logements allant du T1 au T5
Dans la continuité d'une analyse de la ville de Saint-Étienne, et d'un projet de fiction urbaine de la ville en l'année 2050, le but de ce projet consistait, individuellement, à dessiner des logements s'insérant dans cette fiction urbaine travailler précédemment en groupe pendant un mois.
Ma volonté était de travailler sur l'habitat "flexible", un sujet que je soutiens en analyse théorique depuis la licence, et une volonté de mettre en avant, les rapports à la nature environnante, et à la relation public et privé de l'urbanisation bordant les logements.
"Saint-Étienne 2050... Le centre ville est débarrassé de la voiture. La rue est redonnée aux piétons qui peuvent se l’approprier plus aisément. Le quartier de Châteaucreux, est un nouveau quartier d’affaires, traversé par le boulevard urbain périphérique.
J’ai choisi de travailler un ilot a l’image des multiples caractéristiques du lieu, en front de boulevard et bordé de rues piétonnes. Ici se croisent du commerces, des affaires et de l’habitat, avec un fourmillement de monde en journée, près de la gare et du pôle de stationnement de véhicules.
La topographie est importante, environ 15% à l’ouest et 4% au sud. Les logements suivent donc la pente et ne dépassent pas le R+2, afin d’offrir à chaque logement un apport de lumière naturelle maximum, ainsi que de multiples orientations et donc de diverses vues. L’ilot est d’accès totalement privé.
Le long du boulevard, la façade est rigide et linéaire. Seuls deux passages de circulations privée, séparent la «barre» de logement, et de locaux commerciaux en RDC. La rue Neyron est beaucoup plus lumineuses, car beaucoup plus ouverte. Les logements longeant cette rue, s’étalent en plan peigne le long de la pente. En cœur d’ilot on trouve le «jardin» avec de larges espaces pleine-terre végétalisés, et arborés. L’étalement en terrasse est marqué en bas de bâti par un revêtement bois, et apporte un aspect chaleureux aux circulations extérieures.
Le choix de logements est très divers, en simplex ou en duplex. Qui s'entrecroisent pour pouvoir offrir à chacun de multiples apports lumineux tout au long de la journée. Les espaces sont vastes, allant de 30m² à 150m², et de 1 à 4 chambres par logement. Les différents appartements se décomposant suivant une trame d’environ 5m, les espaces intérieurs peuvent être mobiles et plus facilement inter-changeants, dans une idée d’évolutivité dans le temps."
Localisation: Saint-Étienne (42), secteur Chateaucreux/Crêt de Roc
Délai: 3 semaines
Réalisation: Dessins (Main / Sketchup / Photoshop)
Programme: 30 Logements allant du T1 au T5
Dans la continuité d'une analyse de la ville de Saint-Étienne, et d'un projet de fiction urbaine de la ville en l'année 2050, le but de ce projet consistait, individuellement, à dessiner des logements s'insérant dans cette fiction urbaine travailler précédemment en groupe pendant un mois.
Ma volonté était de travailler sur l'habitat "flexible", un sujet que je soutiens en analyse théorique depuis la licence, et une volonté de mettre en avant, les rapports à la nature environnante, et à la relation public et privé de l'urbanisation bordant les logements.
"Saint-Étienne 2050... Le centre ville est débarrassé de la voiture. La rue est redonnée aux piétons qui peuvent se l’approprier plus aisément. Le quartier de Châteaucreux, est un nouveau quartier d’affaires, traversé par le boulevard urbain périphérique.
J’ai choisi de travailler un ilot a l’image des multiples caractéristiques du lieu, en front de boulevard et bordé de rues piétonnes. Ici se croisent du commerces, des affaires et de l’habitat, avec un fourmillement de monde en journée, près de la gare et du pôle de stationnement de véhicules.
La topographie est importante, environ 15% à l’ouest et 4% au sud. Les logements suivent donc la pente et ne dépassent pas le R+2, afin d’offrir à chaque logement un apport de lumière naturelle maximum, ainsi que de multiples orientations et donc de diverses vues. L’ilot est d’accès totalement privé.
Le long du boulevard, la façade est rigide et linéaire. Seuls deux passages de circulations privée, séparent la «barre» de logement, et de locaux commerciaux en RDC. La rue Neyron est beaucoup plus lumineuses, car beaucoup plus ouverte. Les logements longeant cette rue, s’étalent en plan peigne le long de la pente. En cœur d’ilot on trouve le «jardin» avec de larges espaces pleine-terre végétalisés, et arborés. L’étalement en terrasse est marqué en bas de bâti par un revêtement bois, et apporte un aspect chaleureux aux circulations extérieures.
Le choix de logements est très divers, en simplex ou en duplex. Qui s'entrecroisent pour pouvoir offrir à chacun de multiples apports lumineux tout au long de la journée. Les espaces sont vastes, allant de 30m² à 150m², et de 1 à 4 chambres par logement. Les différents appartements se décomposant suivant une trame d’environ 5m, les espaces intérieurs peuvent être mobiles et plus facilement inter-changeants, dans une idée d’évolutivité dans le temps."